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- LAINE DE BREBIS 100 G, FIL DE 4 MM
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81 |
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100 GR
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- LAINE DE BREBIS 100 G, FIL DE 4 MM
Écheveau de laine de brebis laitière belge. La laine de nos brebis est très douce et est filée à La Filature du Hibou et vendue en écheveaux de 100g.
Bergerie d'Acremont De Cock-Vissenaekens Peter et Barbara - Bertrix
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81 | 100 GR |
- LAINE DE BREBIS 100 G, FIL DE 7 MM
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100 GR
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- LAINE DE BREBIS 100 G, FIL DE 7 MM
Laine de brebis laitière belge. La laine de nos brebis est très douce. Elle et filée à la Filature du Hibou et vendue en écheveaux de 100g.
Bergerie d'Acremont De Cock-Vissenaekens Peter et Barbara - Bertrix
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HYDROLAT D'ESTRAGON BIO (*)
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10 |
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20 CL
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HYDROLAT D'ESTRAGON BIO (*)
Un Brin De Campagne Lichtfus Marie-Laure - Tintigny
Label
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10 | 20 CL |
HYDROLAT DE BASILIC VERT BIO (*)
Stock |
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10 |
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20 CL
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HYDROLAT DE BASILIC VERT BIO (*)
Un Brin De Campagne Lichtfus Marie-Laure - Tintigny
Label
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10 | 20 CL |
HYDROLAT DE LAURIER NOBLE BIO (*)
Stock |
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20 CL
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HYDROLAT DE LAURIER NOBLE BIO (*)
Un Brin De Campagne Lichtfus Marie-Laure - Tintigny
Label
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10 | 20 CL |
HYDROLAT DE LAVANDE BIO (*)
Stock |
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10 |
Cond. |
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20 CL
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HYDROLAT DE LAVANDE BIO (*)
Un Brin De Campagne Lichtfus Marie-Laure - Tintigny
Label
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10 | 20 CL |
HYDROLAT DE LAVANDIN BIO (*)
Stock |
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10 |
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20 CL
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HYDROLAT DE LAVANDIN BIO (*)
Un Brin De Campagne Lichtfus Marie-Laure - Tintigny
Stock | Cond. |
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10 | 20 CL |
HYDROLAT DE ROSE DE DAMAS BIO (*)
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15 |
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20 CL
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HYDROLAT DE ROSE DE DAMAS BIO (*)
Un Brin De Campagne Lichtfus Marie-Laure - Tintigny
Label
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15 | 20 CL |
HYDROLAT DE VERVEINE ODORANTE BIO (*)
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20 CL
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HYDROLAT DE VERVEINE ODORANTE BIO (*)
Un Brin De Campagne Lichtfus Marie-Laure - Tintigny
Label
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10 | 20 CL |
REVUE TCHAK N°10
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REVUE TCHAK N°10
Quelques-uns des sujets qui seront au sommaire de ce numéro :
Libramont : la foire aux clichés
Après deux années de pause forcée, la Foire de Libramont renouera avec le public fin juillet. Un retour précédé d'une redéfinition de sa finalité : la promotion d'une agriculture durable. De quoi faire taire ceux qui la descendent en flèche ? Cet événement de masse offre une caisse de résonance inégalable au monde agricole. Mais entre la démarche commerciale et le positionnement politique, son cœur oscille.
Le label bio, un attrape-bobos ?
« Le bio, ça coûte cher. Et puis, il y a bio et bio... Mieux vaut acheter local ! » Les réflexions de ce genre sont devenues banales. Si elles ne sont pas complètement infondées, elles entretiennent la confusion sur la signification du label bio. Et ça, ça inquiète beaucoup les producteurs bio... locaux ! Clarifications.
Comment Colruyt va capter les aides agricoles ?
Pression sur le foncier, retour au servage, fragilisation d'une agriculture familiale... Les accusations pleuvent sur Colruyt, qui s'est mis à dos le monde agricole. En cause, sa politique d'achat de terres. Pas de quoi ébranler le groupe, qui a avoué à Tchak sa volonté de se profiler comme agriculteur. Ca va barder dans les basses-cours.
Réparer les vivants
Faire le lien entre le monde agricole et celui de l'accueil social : c'est le but de l'agriculture sociale. En diversifiant l'accompagnement social et thérapeutique, cette alternative à l'hospitalisation produit des effets incontestables sur la santé mentale des patients, plongés dans un cadre rythmé par le vivant. Pourtant, force est de constater qu'en Wallonie, cette approche peine à se faire soutenir durablement.
Que cachent les boissons alcoolisées ?
Tous les aliments transformés vendus préemballés doivent afficher une liste d'ingrédients et leurs valeurs nutritionnelles. Tous ? Non, une catégorie d'irréductibles résiste à la législation : les boissons alcoolisées.
Agrocarburants : un remède pire que le mal !
Ça vous viendrait à l'idée de faire le plein de votre véhicule avec de la nourriture ? Et pourtant, ça existe : on appelle ça les agrocarburants. La guerre en Ukraine et les tensions qui l'accompagnent sur les marchés de l'énergie et des matières agricoles ont ravivé les débats autour des carburants produits à partir de matières agricoles. Des expert·e·s et la société civile dénoncent pourtant leurs impacts négatifs depuis longtemps, y compris en Belgique. Mais ils se heurtent aux lobbies industriels.
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REVUE TCHAK N°10
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REVUE TCHAK N°10
Quelques-uns des sujets qui seront au sommaire de ce numéro :
Libramont : la foire aux clichés
Après deux années de pause forcée, la Foire de Libramont renouera avec le public fin juillet. Un retour précédé d'une redéfinition de sa finalité : la promotion d'une agriculture durable. De quoi faire taire ceux qui la descendent en flèche ? Cet événement de masse offre une caisse de résonance inégalable au monde agricole. Mais entre la démarche commerciale et le positionnement politique, son cœur oscille.
Le label bio, un attrape-bobos ?
« Le bio, ça coûte cher. Et puis, il y a bio et bio... Mieux vaut acheter local ! » Les réflexions de ce genre sont devenues banales. Si elles ne sont pas complètement infondées, elles entretiennent la confusion sur la signification du label bio. Et ça, ça inquiète beaucoup les producteurs bio... locaux ! Clarifications.
Comment Colruyt va capter les aides agricoles ?
Pression sur le foncier, retour au servage, fragilisation d'une agriculture familiale... Les accusations pleuvent sur Colruyt, qui s'est mis à dos le monde agricole. En cause, sa politique d'achat de terres. Pas de quoi ébranler le groupe, qui a avoué à Tchak sa volonté de se profiler comme agriculteur. Ca va barder dans les basses-cours.
Réparer les vivants
Faire le lien entre le monde agricole et celui de l'accueil social : c'est le but de l'agriculture sociale. En diversifiant l'accompagnement social et thérapeutique, cette alternative à l'hospitalisation produit des effets incontestables sur la santé mentale des patients, plongés dans un cadre rythmé par le vivant. Pourtant, force est de constater qu'en Wallonie, cette approche peine à se faire soutenir durablement.
Que cachent les boissons alcoolisées ?
Tous les aliments transformés vendus préemballés doivent afficher une liste d'ingrédients et leurs valeurs nutritionnelles. Tous ? Non, une catégorie d'irréductibles résiste à la législation : les boissons alcoolisées.
Agrocarburants : un remède pire que le mal !
Ça vous viendrait à l'idée de faire le plein de votre véhicule avec de la nourriture ? Et pourtant, ça existe : on appelle ça les agrocarburants. La guerre en Ukraine et les tensions qui l'accompagnent sur les marchés de l'énergie et des matières agricoles ont ravivé les débats autour des carburants produits à partir de matières agricoles. Des expert·e·s et la société civile dénoncent pourtant leurs impacts négatifs depuis longtemps, y compris en Belgique. Mais ils se heurtent aux lobbies industriels.
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REVUE TCHAK N°11
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REVUE TCHAK N°11
À la une, notre dossier sur les boites-repas. En voici les éléments clés :
• La livraison de boîtes-repas représente un secteur florissant. En 2020, les Belges auraient
dépensé près de 600 millions d’euros - soit trois fois plus qu’en 2019 - pour un total de 8,4
millions de boîtes vendues.
• Dans l’ombre des géants – HelloFresh, Foodbag, Simply You Box et autres - qui dominent le
marché, de plus petits acteurs tentent de se démarquer en proposant du vrai circuit court.
Tchak a analysé l’offre disponible et retenu cinq initiatives plus crédibles.
• Au-delà d’un effet confinement qui perdure, comment expliquer ce succès des boites-repas ?
À quels besoins répondent-elles ? Que traduit sur nous-mêmes ce mode de consommation ?
Publié en accès gratuit sur tchak.be, un décryptage qui prolonge notre dossier.
Au sommaire, également, de ce 11° numéro, notre dossier sur les vignobles wallons, financé par le
Fonds pour le journalisme :
• La Wallonie compte de plus en plus de vignobles associatifs ou coopératifs. Un enracinement
qui porte ses fruits sur le plan de l’inclusion sociale, de la réinsertion socioprofessionnelle et
d’un remaillage du territoire. Enquête dans les coteaux du Vin de Liège, du Poirier du loup et
des Vins de Genval.
Au sommaire, encore, de numéro :
• Petits prix et promos : l’imposture de la grande distribution
• Champignons : les dessous de la filière parisienne
• Chèque alimentaire social : des tickets qui laissent sur leur faim
• Agriculture bio : le cynisme de Syngenta
• Engrais : la vérité sur l’azote
• Ferme partagée : enfin une révolution
Enfin, 15 pages sur l’actualité des régions en matière de nouveaux producteurs et d’artisanstransformateurs, de création de coopératives et de magasins à la ferme, de luttes paysannes, etc.
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REVUE TCHAK N°11
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REVUE TCHAK N°11
À la une, notre dossier sur les boites-repas. En voici les éléments clés :
• La livraison de boîtes-repas représente un secteur florissant. En 2020, les Belges auraient
dépensé près de 600 millions d’euros - soit trois fois plus qu’en 2019 - pour un total de 8,4
millions de boîtes vendues.
• Dans l’ombre des géants – HelloFresh, Foodbag, Simply You Box et autres - qui dominent le
marché, de plus petits acteurs tentent de se démarquer en proposant du vrai circuit court.
Tchak a analysé l’offre disponible et retenu cinq initiatives plus crédibles.
• Au-delà d’un effet confinement qui perdure, comment expliquer ce succès des boites-repas ?
À quels besoins répondent-elles ? Que traduit sur nous-mêmes ce mode de consommation ?
Publié en accès gratuit sur tchak.be, un décryptage qui prolonge notre dossier.
Au sommaire, également, de ce 11° numéro, notre dossier sur les vignobles wallons, financé par le
Fonds pour le journalisme :
• La Wallonie compte de plus en plus de vignobles associatifs ou coopératifs. Un enracinement
qui porte ses fruits sur le plan de l’inclusion sociale, de la réinsertion socioprofessionnelle et
d’un remaillage du territoire. Enquête dans les coteaux du Vin de Liège, du Poirier du loup et
des Vins de Genval.
Au sommaire, encore, de numéro :
• Petits prix et promos : l’imposture de la grande distribution
• Champignons : les dessous de la filière parisienne
• Chèque alimentaire social : des tickets qui laissent sur leur faim
• Agriculture bio : le cynisme de Syngenta
• Engrais : la vérité sur l’azote
• Ferme partagée : enfin une révolution
Enfin, 15 pages sur l’actualité des régions en matière de nouveaux producteurs et d’artisanstransformateurs, de création de coopératives et de magasins à la ferme, de luttes paysannes, etc.
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REVUE TCHAK N°12
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REVUE TCHAK N°12
À la une, notre enquête « Bioingénieurs : les profs à côté de la fac ! ». En voici les éléments clés :
• En mai dernier, lors de la remise de leur diplôme, huit étudiants d’AgroParisTech ont proclamé leur refus de contribuer à un système agricole productiviste et mondialisé. Leur vidéo a fait le buzz. Chez Tchak, on s’est demandé si les étudiants bioingénieurs belges portaient les mêmes revendications.
• Suite à notre appel à témoignages, nous avons découvert une frange révoltée. Elle témoigne dans ce numéro. Pourquoi s’accrocher à des cours conventionnels alors que l’état de la planète réclame une autre approche? Pourquoi organiser un cursus interdisciplinaire si c’est pour le saboter ? Ils n’ont reçu aucune réponse des autorités académiques à leur courrier.
• Ce que ces étudiants veulent, c’est renverser le modèle capitaliste technocentré. Ce qui les intéresse, ce sont les implications sociales et environnementales de leurs actes. Ce qu’ils exigent, c’est une formation en adéquation avec l’urgence des enjeux écologiques. Un appel qui résonne également dans les facultés belges d’économie.
Au sommaire, encore, de ce 12° numéro :
• Boulangeries paysannes : un modèle qui résiste aux marchés.
• Lait Fairebel : une coopérative qui pourrait faire mieux.
• Wallonie : les environnementalistes sont-ils anti-viande ?
• Mines de lithium : en Espagne, le combat de toute une ville
• Pesticides interdits : le double jeu de l’Union européenne et de la Belgique
• Supermarchés : une durabilité en dessous des 20%
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REVUE TCHAK N°12
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REVUE TCHAK N°12
À la une, notre enquête « Bioingénieurs : les profs à côté de la fac ! ». En voici les éléments clés :
• En mai dernier, lors de la remise de leur diplôme, huit étudiants d’AgroParisTech ont proclamé leur refus de contribuer à un système agricole productiviste et mondialisé. Leur vidéo a fait le buzz. Chez Tchak, on s’est demandé si les étudiants bioingénieurs belges portaient les mêmes revendications.
• Suite à notre appel à témoignages, nous avons découvert une frange révoltée. Elle témoigne dans ce numéro. Pourquoi s’accrocher à des cours conventionnels alors que l’état de la planète réclame une autre approche? Pourquoi organiser un cursus interdisciplinaire si c’est pour le saboter ? Ils n’ont reçu aucune réponse des autorités académiques à leur courrier.
• Ce que ces étudiants veulent, c’est renverser le modèle capitaliste technocentré. Ce qui les intéresse, ce sont les implications sociales et environnementales de leurs actes. Ce qu’ils exigent, c’est une formation en adéquation avec l’urgence des enjeux écologiques. Un appel qui résonne également dans les facultés belges d’économie.
Au sommaire, encore, de ce 12° numéro :
• Boulangeries paysannes : un modèle qui résiste aux marchés.
• Lait Fairebel : une coopérative qui pourrait faire mieux.
• Wallonie : les environnementalistes sont-ils anti-viande ?
• Mines de lithium : en Espagne, le combat de toute une ville
• Pesticides interdits : le double jeu de l’Union européenne et de la Belgique
• Supermarchés : une durabilité en dessous des 20%
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REVUE TCHAK N°13
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REVUE TCHAK N°13
Certification bio : et si on redistribuait les cartes ?
Comment être sûr qu'un produit alimentaire est bel et bien issu de l'agriculture biologique ? En Wallonie, quatre opérateurs agréés certifient les étapes de la filière, du producteur au vendeur en passant par le transformateur. Ces contrôles à répétition grèvent les marges bénéficiaires des petits acteurs du bio. Autres cochons payeurs, les consommateurs. Et si on redistribuait les cartes ?
Fermes en scènes et scènes sur ferme
Culture et agriculture ont bien plus que deux syllabes en commun. Parfois, ce sont les spectacles et les concerts qui s'organisent dans les fermes. Parfois, c'est l'agriculture qui s'impose comme thème brûlant sur les scènes ou les écrans. Une pollinisation croisée féconde, où les barrières s'estompent. Le public, lui, en redemande.
Un capitalisme de porcs
À voir grossir les rayons viandes et charcuteries des supermarchés, nul doute, les amateurs de viande adorent le cochon. Pour les éleveurs de porcs, c'est une autre histoire : ils accumulent les pertes. Une détresse plutôt solitaire : le Belgian Pork Group, plus gros réseau national d'abattage de porcs, a des soucis plus urgents : verser des millions d'euros de dividendes. Et si vous favorisiez d'autres crèmeries ?
En Drôme, la ferme du bien commun
Dans la Drôme, une coopérative agricole invente un modèle de « mini-société ». La ferme des Volonteux, près de 30 hectares, a réussi en un peu plus de dix ans à créer 15 emplois équivalents temps plein et fait vivre aujourd'hui 27 personnes. Au cœur de cet écosystème fragile, l'équité salariale et la force du commun. Nous y avons séjourné deux jours. Vous devriez y aller aussi, tant le projet est inspirant.
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REVUE TCHAK N°13
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REVUE TCHAK N°13
Certification bio : et si on redistribuait les cartes ?
Comment être sûr qu'un produit alimentaire est bel et bien issu de l'agriculture biologique ? En Wallonie, quatre opérateurs agréés certifient les étapes de la filière, du producteur au vendeur en passant par le transformateur. Ces contrôles à répétition grèvent les marges bénéficiaires des petits acteurs du bio. Autres cochons payeurs, les consommateurs. Et si on redistribuait les cartes ?
Fermes en scènes et scènes sur ferme
Culture et agriculture ont bien plus que deux syllabes en commun. Parfois, ce sont les spectacles et les concerts qui s'organisent dans les fermes. Parfois, c'est l'agriculture qui s'impose comme thème brûlant sur les scènes ou les écrans. Une pollinisation croisée féconde, où les barrières s'estompent. Le public, lui, en redemande.
Un capitalisme de porcs
À voir grossir les rayons viandes et charcuteries des supermarchés, nul doute, les amateurs de viande adorent le cochon. Pour les éleveurs de porcs, c'est une autre histoire : ils accumulent les pertes. Une détresse plutôt solitaire : le Belgian Pork Group, plus gros réseau national d'abattage de porcs, a des soucis plus urgents : verser des millions d'euros de dividendes. Et si vous favorisiez d'autres crèmeries ?
En Drôme, la ferme du bien commun
Dans la Drôme, une coopérative agricole invente un modèle de « mini-société ». La ferme des Volonteux, près de 30 hectares, a réussi en un peu plus de dix ans à créer 15 emplois équivalents temps plein et fait vivre aujourd'hui 27 personnes. Au cœur de cet écosystème fragile, l'équité salariale et la force du commun. Nous y avons séjourné deux jours. Vous devriez y aller aussi, tant le projet est inspirant.
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REVUE TCHAK N°14
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REVUE TCHAK N°14
À la une, notre dossier « Agriculture 4.0 : droit dans la matrice » :
• Les technologies numériques nous rendent la vie plus confortable, c’est l’une de leurs
promesses. Mais qu’en est-il dans les fermes ? Elles aussi sont aujourd’hui plus connectées et
informatisées qu’hier.
• En élevage laitier, le robot de traite s’impose en Wallonie. Les équipementiers promettent un
gain de temps, de productivité et une réduction de la pénibilité physique. Mais ils oublient de
dire qu’une potentielle perte de savoirs se profile, que la charge mentale explose en même
temps que les coûts de maintenance, qu’un risque d’agrandissement forcé et de
standardisation des animaux existe.
• Le Big Data agricole s’annonce, avec son armada de capteurs, d’écrans et de robots
connectés. La promesse d’une matrice où le contrôle, la traçabilité et l’interopérabilité
permettront de soigner les terres, de multiplier les rendements, de lier l’offre et la demande
en temps réel. Un nouvel eldorado pour les startups, les multinationales de l’agroalimentaire
et les géants du web.
• Cette digitalisation n’est pas souvent questionnée, tant la marche vers le progrès semble se
faire à sens unique. Dans cette enquête, nous portons un regard volontairement critique sur
la place des nouvelles technologies en agriculture. Non pas pour se positionner contre, mais
bien pour tenter de comprendre les enjeux du numérique pour l’environnement et la
société.
Également au sommaire de ce 14° numéro :
• Portrait : Patrick Janssens, qui sème le suive
• Circuit court : un baromètre en hausse
• Magasins coopératifs : le pied de nez à Delhaize
• Accidents du travail : dans les fermes, on la ferme
• Filière : la grenade, un fruit qui fait boum
• Nitrates dans les nappes : la Wallonie en mode plan-plan
• Production de café : au Costa Rica, ces femmes qui ont dit non à Illy
• Regard : l’agrobusiness s’en met plein les poches
• Burgers végétariens : bon pour vous, bon pour l’environnement ?
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REVUE TCHAK N°14
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REVUE TCHAK N°14
Le 14° numéro de Tchak — La revue paysanne et citoyenne qui tranche (été 23) est en vente à partir du vendredi 16 juin.
À la une, notre dossier « Agriculture 4.0 : droit dans la matrice » :
• Les technologies numériques nous rendent la vie plus confortable, c’est l’une de leurs promesses. Mais qu’en est-il dans les fermes ? Elles aussi sont aujourd’hui plus connectées et informatisées qu’hier.
• En élevage laitier, le robot de traite s’impose en Wallonie. Les équipementiers promettent un gain de temps, de productivité et une réduction de la pénibilité physique. Mais ils oublient de dire qu’une potentielle perte de savoirs se profile, que la charge mentale explose en même temps que les coûts de maintenance, qu’un risque d’agrandissement forcé et de standardisation des animaux existe.
• Le Big Data agricole s’annonce, avec son armada de capteurs, d’écrans et de robots connectés. La promesse d’une matrice où le contrôle, la traçabilité et l’interopérabilité permettront de soigner les terres, de multiplier les rendements, de lier l’offre et la demande en temps réel. Un nouvel eldorado pour les startups, les multinationales de l’agroalimentaire et les géants du web.
• Cette digitalisation n’est pas souvent questionnée, tant la marche vers le progrès semble se faire à sens unique. Dans cette enquête, nous portons un regard volontairement critique sur la place des nouvelles technologies en agriculture. Non pas pour se positionner contre, mais bien pour tenter de comprendre les enjeux du numérique pour l’environnement et la société.
Également au sommaire de ce 14° numéro :
• Portrait : Patrick Janssens, qui sème le suive
• Circuit court : un baromètre en hausse
• Magasins coopératifs : le pied de nez à Delhaize
• Accidents du travail : dans les fermes, on la ferme
• Filière : la grenade, un fruit qui fait boum
• Nitrates dans les nappes : la Wallonie en mode plan-plan
• Production de café : au Costa Rica, ces femmes qui ont dit non à Illy
• Regard : l’agrobusiness s’en met plein les poches
• Burgers végétariens : bon pour vous, bon pour l’environnement ?
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REVUE TCHAK N°15
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REVUE TCHAK N°15
- À la une, notre dossier sur les coûts cachés de la malbouffe :
L’alimentation low cost nous coûte en réalité très cher, en tant que société. Le modèle industriel génère des dommages sur notre santé et notre environnement. Et c’est toute la collectivité qui doit payer pour soigner les gens rendus malades et réparer les écosystèmes meurtris. Pendant ce temps-là, les entreprises responsables de ces dégâts s’en lavent les mains.
-Tchak automne 2023
Au cœur de ce numéro, également, notre enquête « Petits producteurs vs AFSCA : faux scandales, vrai malaise » :
Les inspections de routine de l’AFSCA, l’Agence fédérale en charge de la sécurité de la chaîne alimentaire, sont jugées parfois trop pointilleuses, parfois pas assez, stressantes certes, mais nécessaires. Le malaise est plus profond. En réalité, il déborde largement de la sphère de ses compétences.
Les petits producteurs éprouvent un manque de considération sociétal, inscrit dans des lois qui n’ont pas été pensées pour eux. Une tuile sanitaire, et c’est le projet d’une vie qui tangue. Parfois incriminés à tort, parfois contraints de jeter des produits sains. Sans indemnisation. Coopératives de distribution, boucheries à la ferme ou petits abattoirs sont mis sur le même pied que des entreprises qui exportent dans le monde entier.
L’AFSCA n’est pas en guerre contre les spécialités de terroir. Mais le financement d’études scientifiques susceptibles d’alléger la gestion des risques dans les fermes et petits ateliers artisanaux n’est pas la priorité des autorités. Pendant ce temps, les multinationales de l’alimentaire refourguent leurs plats transformés remplis d’ingrédients importés dont la teneur en pesticides est très peu contrôlée.
Aussi au sommaire de ce 15° numéro :
Humeur : Kazidomi, l’e-commerce branché, mais déconnecté
Certification bio : le jackpot continue pour Certisys
Portrait : Marie-Claire Wylock : la liberté retrouvée
Supermarchés : des poubelles qui regorgent de nourriture
Agro-industrie : l’amidon, une molécule qui masque l’essentiel
Incendies en Sicile : la colère de Galline Felici
Interview : Patrick Bougeard, 73 ans de lutte paysanne chevillée au corps
Pesticides et métabolites dans l’eau potable : le grand flou
Coopérative Ardelaine (France) : une fabrique du territoire
Distribution en Europe : « On devrait prendre exemple sur les circuits nord-sud »
Filtre, capsule & Co : on vous dit tout sur la meilleure façon de faire du café
Enfin, 15 pages sur l’actualité des régions en matière de nouveaux producteurs et d’artisans-transformateurs, de création de coopératives et de magasins à la ferme, de luttes paysannes, etc.
Réseau Paysan Distribution Admin Admin - Marbehan
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24 | 1 PIECE |
REVUE TCHAK N°15
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REVUE TCHAK N°15
À la une, notre dossier sur les coûts cachés de la malbouffe :
L’alimentation low cost nous coûte en réalité très cher, en tant que société. Le modèle industriel génère des dommages sur notre santé et notre environnement. Et c’est toute la collectivité qui doit payer pour soigner les gens rendus malades et réparer les écosystèmes meurtris. Pendant ce temps-là, les entreprises responsables de ces dégâts s’en lavent les mains.
Tchak automne 2023
Au cœur de ce numéro, également, notre enquête « Petits producteurs vs AFSCA : faux scandales, vrai malaise » :
Les inspections de routine de l’AFSCA, l’Agence fédérale en charge de la sécurité de la chaîne alimentaire, sont jugées parfois trop pointilleuses, parfois pas assez, stressantes certes, mais nécessaires. Le malaise est plus profond. En réalité, il déborde largement de la sphère de ses compétences.
Les petits producteurs éprouvent un manque de considération sociétal, inscrit dans des lois qui n’ont pas été pensées pour eux. Une tuile sanitaire, et c’est le projet d’une vie qui tangue. Parfois incriminés à tort, parfois contraints de jeter des produits sains. Sans indemnisation. Coopératives de distribution, boucheries à la ferme ou petits abattoirs sont mis sur le même pied que des entreprises qui exportent dans le monde entier.
L’AFSCA n’est pas en guerre contre les spécialités de terroir. Mais le financement d’études scientifiques susceptibles d’alléger la gestion des risques dans les fermes et petits ateliers artisanaux n’est pas la priorité des autorités. Pendant ce temps, les multinationales de l’alimentaire refourguent leurs plats transformés remplis d’ingrédients importés dont la teneur en pesticides est très peu contrôlée.
Aussi au sommaire de ce 15° numéro :
Humeur : Kazidomi, l’e-commerce branché, mais déconnecté
Certification bio : le jackpot continue pour Certisys
Portrait : Marie-Claire Wylock : la liberté retrouvée
Supermarchés : des poubelles qui regorgent de nourriture
Agro-industrie : l’amidon, une molécule qui masque l’essentiel
Incendies en Sicile : la colère de Galline Felici
Interview : Patrick Bougeard, 73 ans de lutte paysanne chevillée au corps
Pesticides et métabolites dans l’eau potable : le grand flou
Coopérative Ardelaine (France) : une fabrique du territoire
Distribution en Europe : « On devrait prendre exemple sur les circuits nord-sud »
Filtre, capsule & Co : on vous dit tout sur la meilleure façon de faire du café
Enfin, 15 pages sur l’actualité des régions en matière de nouveaux producteurs et d’artisans-transformateurs, de création de coopératives et de magasins à la ferme, de luttes paysannes, etc.
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REVUE TCHAK N°16
Le 16° numéro de Tchak — La revue paysanne et citoyenne qui tranche (hiver 23-24) est en vente à partir de ces jeudi et vendredi 14 et 15 décembre.
À la une, notre enquête sur Les Chips de Lucien :
C’est une marque qui cartonne partout en Belgique. À la tête de l’entreprise, trois gros agriculteurs namurois qui ont voulu reprendre leur destin en main en transformant eux-mêmes leurs pommes de terre. En termes de communication, le trio met le paquet sur le local, l’authenticité et la durabilité de leurs produits. Mais en même temps, ils se lancent dans l’export, sont vendus dans quasi toutes les chaînes de supermarchés et intensifient leur production.
Dans cette enquête, nous décortiquons les paradoxes de cette entreprise familiale. Son modèle et les compromis qu’elle a faits montrent à quel point il est difficile de faire émerger des alternatives plus vertueuses dans un système qui n’est pas taillé pour.
Même si de plus petites marques sont nées ces dernières années, ce sont bien les multinationales qui dominent le marché belge, à plus de 90% pour PepsiCo (Lay’s) et Roger & Roger (Croky). Notre appétit pour ce produit emblématique de la malbouffe est vorace : en Belgique, la consommation a augmenté de presque 30% par rapport à il y a six ans.
Bien installée dans notre pays, l’industrie de la transformation pousse les cultivateur·ices belges à planter toujours plus de patates pour répondre à ses besoins gigantesques. Alors même que la culture industrielle de pommes de terre a des conséquences environnementales très graves et un impact direct sur le sol, outil de travail des agriculteur·ices mais aussi garant de notre sécurité alimentaire.
Également au sommaire de ce 16° numéro :
• Édito : comment cultiver sur un champ de bataille ?
• Traité Union européenne / Nouvelle-Zélande : un prêchi-prêcha agaçant
• Wallonie : les terres agricoles se « chevalisent »
• Réchauffement climatique : la filière orange suffoque
• Économie : à quand des bons d’État pour la transition ?
• Filière truite : des pisciculteur·ices qui se mouillent
• Société : comment le monde paysan médiatise ses luttes
• Mine de Garzweiler : en Allemagne, des villages agricoles sacrifiés
• Brésil : le Mouvement des Sans-Terre célèbre ses 40 ans
• Alimentation : pourquoi tant de gaspillage ?
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REVUE TCHAK N°16
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À la une, notre enquête sur Les Chips de Lucien :
• C’est une marque qui cartonne partout en Belgique. À la tête de l’entreprise, trois gros
agriculteurs namurois qui ont voulu reprendre leur destin en main en transformant euxmêmes leurs pommes de terre. En termes de communication, le trio met le paquet sur
le local, l’authenticité et la durabilité de leurs produits. Mais en même temps, ils se
lancent dans l’export, sont vendus dans quasi toutes les chaînes de supermarchés et
intensifient leur production.
• Dans cette enquête, nous décortiquons les paradoxes de cette entreprise familiale. Son
modèle et les compromis qu’elle a faits montrent à quel point il est difficile de faire
émerger des alternatives plus vertueuses dans un système qui n’est pas taillé pour.
• Même si de plus petites marques sont nées ces dernières années, ce sont bien les
multinationales qui dominent le marché belge, à plus de 90% pour PepsiCo (Lay’s) et
Roger & Roger (Croky). Notre appétit pour ce produit emblématique de la malbouffe est
vorace : en Belgique, la consommation a augmenté de presque 30% par rapport à il y a
six ans.
• Bien installée dans notre pays, l’industrie de la transformation pousse les
cultivateur·ices belges à planter toujours plus de patates pour répondre à ses besoins
gigantesques. Alors même que la culture industrielle de pommes de terre a des
conséquences environnementales très graves et un impact direct sur le sol, outil de
travail des agriculteur·ices mais aussi garant de notre sécurité alimentaire.
Également au sommaire de ce 16° numéro :
• Édito : comment cultiver sur un champ de bataille ?
• Traité Union européenne / Nouvelle-Zélande : un prêchi-prêcha agaçant
• Wallonie : les terres agricoles se « chevalisent »
• Réchauffement climatique : la filière orange suffoque
• Économie : à quand des bons d’État pour la transition ?
• Filière truite : des pisciculteur·ices qui se mouillent
• Société : comment le monde paysan médiatise ses luttes
• Mine de Garzweiler : en Allemagne, des villages agricoles sacrifiés
• Brésil : le Mouvement des Sans-Terre célèbre ses 40 ans
• Alimentation : pourquoi tant de gaspillage ?
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REVUE TCHAK N°17
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REVUE TCHAK N°17
Le numéro spécial élections que nous avons imaginé fin octobre lors d'une réunion de notre Comité de rédaction sort aujourd'hui en librairie.
En case de tête, cette invitation : au boulot, les politiques ! Sur notre liste, neuf chantiers réalisables en une législature (ou presque). Allez hop, notre programme...
Interdire la pub pour la malbouffe.
Stopper la privatisation de la terre
Rendre les cantines scolaires gratuites et de qualité
Cadenasser le développement de l'agrivoltaïsme
Créer un statut pour les bénévoles du circuit court
Tester la Sécurité sociale de l'alimentation
Réinventer les métiers et formations
Rendre le label bio gratuit
Ne plus financer l'agriculture industrielle au niveau de la Coopération
Vous le voyez : y a du débat dans chaque page, et même quelques pavés dans la mare. Mais promis : tout est documenté et recoupé. Et juré : vous allez même pouvoir voter (on vous expliquera ça en détail dans quelques jours).
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Le numéro spécial élections que nous avons imaginé fin octobre lors d'une réunion de notre Comité de rédaction sort aujourd'hui en librairie.
En case de tête, cette invitation : au boulot, les politiques ! Sur notre liste, neuf chantiers réalisables en une législature (ou presque). Allez hop, notre programme...
Interdire la pub pour la malbouffe.
Stopper la privatisation de la terre
Rendre les cantines scolaires gratuites et de qualité
Cadenasser le développement de l'agrivoltaïsme
Créer un statut pour les bénévoles du circuit court
Tester la Sécurité sociale de l'alimentation
Réinventer les métiers et formations
Rendre le label bio gratuit
Ne plus financer l'agriculture industrielle au niveau de la Coopération
Vous le voyez : y a du débat dans chaque page, et même quelques pavés dans la mare. Mais promis : tout est documenté et recoupé. Et juré : vous allez même pouvoir voter (on vous expliquera ça en détail dans quelques jours).
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REVUE TCHAK N°2
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REVUE TCHAK N°2
Au sommaire :
Une enquête sur le business des compagnies phytosanitaires, comment elles continuent d'assurer leur chiffre d'affaires et les failles du système. Une quarantaine de pages très éclairantes sur ce qui se passe vraiment en Wallonie. Sur le terrain, dans l'administration, dans la recherche.
Un dossier sur les défis du circuit court. La vente en direct a explosé durant le confinement. Producteurs, magasins à la ferme et coopératives ont accueilli de nombreux nouveaux clients. Un cap est franchi, de nouveaux horizons se dessinent. Des jeunes s'engagent aussi. Tchak! a tendu son micro.
Un sujet sur les produits industriels qui se targuent de provenir de la ferme. Avec en exemple un « producteur » bien connu qui pratique de la publicité mensongère depuis des années.
Des histoires issues des quatre coins de la Wallonie et à Bruxelles. Chez Harry, un éleveur particulièrement soucieux de ses bêtes ; chez Fabienne, dans son bistrot pas comme les autres ; chez Etienne, qui pratique l'agriculture de conservation des sols. Plus tous les autres, présents dans notre tour des régions.
Des regards, des décryptages : sur Mondelez, un des géants de l'agro-alimentaire (Lu, Prince, Oreo, etc) ; sur la relocalisation de notre alimentation, qui aura un coût ; sur la nécessité de changer de posture sur le plan de la recherche et de l'agriculture.
Ah oui, encore ceci : des témoignages de paysans et d'associations du Sud confrontés à la pandémie.
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Au sommaire :
Une enquête sur le business des compagnies phytosanitaires, comment elles continuent d'assurer leur chiffre d'affaires et les failles du système. Une quarantaine de pages très éclairantes sur ce qui se passe vraiment en Wallonie. Sur le terrain, dans l'administration, dans la recherche.
Un dossier sur les défis du circuit court. La vente en direct a explosé durant le confinement. Producteurs, magasins à la ferme et coopératives ont accueilli de nombreux nouveaux clients. Un cap est franchi, de nouveaux horizons se dessinent. Des jeunes s'engagent aussi. Tchak! a tendu son micro.
Un sujet sur les produits industriels qui se targuent de provenir de la ferme. Avec en exemple un « producteur » bien connu qui pratique de la publicité mensongère depuis des années.
Des histoires issues des quatre coins de la Wallonie et à Bruxelles. Chez Harry, un éleveur particulièrement soucieux de ses bêtes ; chez Fabienne, dans son bistrot pas comme les autres ; chez Etienne, qui pratique l'agriculture de conservation des sols. Plus tous les autres, présents dans notre tour des régions.
Des regards, des décryptages : sur Mondelez, un des géants de l'agro-alimentaire (Lu, Prince, Oreo, etc) ; sur la relocalisation de notre alimentation, qui aura un coût ; sur la nécessité de changer de posture sur le plan de la recherche et de l'agriculture.
Ah oui, encore ceci : des témoignages de paysans et d'associations du Sud confrontés à la pandémie.
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REVUE TCHAK N°3
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REVUE TCHAK N°3
Au sommaire :
* Enquête : bières locales : comment les géants font trinquer les artisans !
* Supermarchés : pourquoi une telle profusion de produits alimentaires ?
* Interview d’Anthony Galluzzo, auteur du livre « la Fabrique du consommateur »
* Vergers : un paysage remodelé après la guerre
* Sodexo : quand les coûts passent avant le goût
* La guerre du béton : comment les terres agricoles se font grignoter
* Comment la Fondation Gates mène l’Afrique à l’échec
* Les news des Régions : les initiatives locales et positives !
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REVUE TCHAK N°3
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REVUE TCHAK N°3
Au sommaire :
* Enquête : bières locales : comment les géants font trinquer les artisans !
* Supermarchés : pourquoi une telle profusion de produits alimentaires ?
* Interview d’Anthony Galluzzo, auteur du livre « la Fabrique du consommateur »
* Vergers : un paysage remodelé après la guerre
* Sodexo : quand les coûts passent avant le goût
* La guerre du béton : comment les terres agricoles se font grignoter
* Comment la Fondation Gates mène l’Afrique à l’échec
* Les news des Régions : les initiatives locales et positives !
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À la Une, notre enquête sur le cri d’alarme des producteurs bio. En voici les cinq éléments clés :
1. Longtemps, les producteurs bio ont été épargnés. Préservés des dérives du circuit conventionnel. Peu nombreux, ils étaient courtisés par les supermarchés, les grossistes et quelques magasins spécialisés qui achetaient leurs produits au prix juste.
2. La tendance se renverse. La grande distribution mise à fond sur la croissance du marché bio. Les principaux grossistes ont beaucoup grandi, et les magasins bio ouvrent des points de vente à tour de bras. Ces acteurs font pression sur les prix payés aux agriculteurs.
3. Conséquence : les producteurs bio les plus industriels ont désormais un train d’avance. Dans la grande distribution, et même dans les magasins spécialisés.
4. Parmi les enseignes qui ont un discours spécialement engagé en faveur des producteurs, toutes n’échappent pas aux incohérences. Exemple avec Färm et The Barn, des chaînes qui essaiment à partir de Bruxelles.
5. Le label bio n’est pas suffisamment exigeant en matière d’impact sur la biodiversité, la qualité de vie et l’économie sociale. Interview avec Anne Lemineur, gérante de La Biosphère, un magasin pionnier dans le secteur.
Au sommaire aussi de ce quatrième numéro de Tchak! :
• HelloFresh : une vitrine séduisante, une arrière-boutique peu reluisante.
• Lait de la Baraque : une nouvelle brique qui court-circuite l’industrie.
• Politique agricole commune : le double discours des grands syndicats agricoles.
• « Zéro résidu de pesticides » : une appellation plutôt bidon.
• Magasins de quartier et de village : un lieu de vie et d’intelligence collective.
Et aussi : 15 pages sur l’actualité des régions en matière de nouveaux producteurs et d’artisans-transformateurs, de créations de magasins coopératifs ou à la ferme, de luttes paysannes, etc.
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REVUE TCHAK N°4
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REVUE TCHAK N°4
À la Une, notre enquête sur le cri d’alarme des producteurs bio. En voici les cinq éléments clés :
1. Longtemps, les producteurs bio ont été épargnés. Préservés des dérives du circuit conventionnel. Peu nombreux, ils étaient courtisés par les supermarchés, les grossistes et quelques magasins spécialisés qui achetaient leurs produits au prix juste.
2. La tendance se renverse. La grande distribution mise à fond sur la croissance du marché bio. Les principaux grossistes ont beaucoup grandi, et les magasins bio ouvrent des points de vente à tour de bras. Ces acteurs font pression sur les prix payés aux agriculteurs.
3. Conséquence : les producteurs bio les plus industriels ont désormais un train d’avance. Dans la grande distribution, et même dans les magasins spécialisés.
4. Parmi les enseignes qui ont un discours spécialement engagé en faveur des producteurs, toutes n’échappent pas aux incohérences. Exemple avec Färm et The Barn, des chaînes qui essaiment à partir de Bruxelles.
5. Le label bio n’est pas suffisamment exigeant en matière d’impact sur la biodiversité, la qualité de vie et l’économie sociale. Interview avec Anne Lemineur, gérante de La Biosphère, un magasin pionnier dans le secteur.
Au sommaire aussi de ce quatrième numéro de Tchak! :
• HelloFresh : une vitrine séduisante, une arrière-boutique peu reluisante.
• Lait de la Baraque : une nouvelle brique qui court-circuite l’industrie.
• Politique agricole commune : le double discours des grands syndicats agricoles.
• « Zéro résidu de pesticides » : une appellation plutôt bidon.
• Magasins de quartier et de village : un lieu de vie et d’intelligence collective.
Et aussi : 15 pages sur l’actualité des régions en matière de nouveaux producteurs et d’artisans-transformateurs, de créations de magasins coopératifs ou à la ferme, de luttes paysannes, etc.
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REVUE TCHAK N°5
Transmission des fermes : trois générations pour raconter l’urgence
Le 5° numéro de Tchak ! – La revue paysanne et citoyenne qui tranche sera en vente à partir du mercredi 31 mars *.
À la Une, notre dossier Transmission des fermes : trois générations pour raconter l’urgence. En voici les éléments clés :
• Seule une ferme sur cinq a un repreneur assuré. Ça ne va pas s’arranger ces prochaines années vu l’âge moyen des agriculteurs wallons (55 ans). A la clé, un phénomène de
concentration des terres, au profit des grandes exploitations, des propriétaires et des sociétés de gestion.
• Qu’est-ce qui coince dans la reprise des fermes ? Moment charnière dans la vie d’un agriculteur, la transmission est un moment redouté sur le plan financier, mais aussi et surtout sur les plans personnel et psychologique. À Beauraing, la famille Hénin a relevé le pari, non sans difficultés. Trois générations d'agriculteurs ont accepté de témoigner.
• Face au déclin des exploitations familiales, François Berrou refuse de sombrer dans le défaitisme. Ce Français anime des formations sur la transmission des fermes. Il explique comment, grâce à la parole, on peut contrer les tendances. En Wallonie, on est loin du compte : malgré l’urgence de la situation et les propositions déposées par la FUGEA et Terre en-Vue, aucune structure d’accompagnement n’a été mise en place par les pouvoirs publics.
Au sommaire aussi de ce quatrième numéro de Tchak! :
• Aldi : sa tactique pour ferrer les consommateurs.
• Potagers : les semences industrielles, ce n’est pas un bon plan.
• Meunerie : pas encore le grand vent mais la filière se réveille.
• Autonomie paysanne : s’outiller sans rouler des mécaniques.
• Unilever : la multinationale de toutes les indécences.
Et encore : 15 pages sur l’actualité des régions en matière de nouveaux producteurs et d’artisanstransformateurs, de créations de magasins coopératifs ou à la ferme, de luttes paysannes, etc.
La revue Tchak! s’adresse aux producteurs, aux artisans transformateurs, aux consommateurs. Elle parle d’agriculture paysanne et des nouveaux modèles de production, de distribution et de consommation. Elle questionne les pratiques de l’industrie agro-alimentaire et de la grande distribution. Elle adhère au code de déontologie de l’Association des journalistes professionnels.
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REVUE TCHAK N°5
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Transmission des fermes : trois générations pour raconter l’urgence
Le 5° numéro de Tchak ! – La revue paysanne et citoyenne qui tranche sera en vente à partir du mercredi 31 mars *.
À la Une, notre dossier Transmission des fermes : trois générations pour raconter l’urgence. En voici les éléments clés :
• Seule une ferme sur cinq a un repreneur assuré. Ça ne va pas s’arranger ces prochaines années vu l’âge moyen des agriculteurs wallons (55 ans). A la clé, un phénomène de
concentration des terres, au profit des grandes exploitations, des propriétaires et des sociétés de gestion.
• Qu’est-ce qui coince dans la reprise des fermes ? Moment charnière dans la vie d’un agriculteur, la transmission est un moment redouté sur le plan financier, mais aussi et surtout sur les plans personnel et psychologique. À Beauraing, la famille Hénin a relevé le pari, non sans difficultés. Trois générations d'agriculteurs ont accepté de témoigner.
• Face au déclin des exploitations familiales, François Berrou refuse de sombrer dans le défaitisme. Ce Français anime des formations sur la transmission des fermes. Il explique comment, grâce à la parole, on peut contrer les tendances. En Wallonie, on est loin du compte : malgré l’urgence de la situation et les propositions déposées par la FUGEA et Terre en-Vue, aucune structure d’accompagnement n’a été mise en place par les pouvoirs publics.
Au sommaire aussi de ce quatrième numéro de Tchak! :
• Aldi : sa tactique pour ferrer les consommateurs.
• Potagers : les semences industrielles, ce n’est pas un bon plan.
• Meunerie : pas encore le grand vent mais la filière se réveille.
• Autonomie paysanne : s’outiller sans rouler des mécaniques.
• Unilever : la multinationale de toutes les indécences.
Et encore : 15 pages sur l’actualité des régions en matière de nouveaux producteurs et d’artisanstransformateurs, de créations de magasins coopératifs ou à la ferme, de luttes paysannes, etc.
La revue Tchak! s’adresse aux producteurs, aux artisans transformateurs, aux consommateurs. Elle parle d’agriculture paysanne et des nouveaux modèles de production, de distribution et de consommation. Elle questionne les pratiques de l’industrie agro-alimentaire et de la grande distribution. Elle adhère au code de déontologie de l’Association des journalistes professionnels.
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REVUE TCHAK N°6
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REVUE TCHAK N°6
En voici les éléments clés :
Insultes, arnaques, quasi-séquestration… Cela se passe dans certaines serres flamandes, dans certains champs wallons. En témoignent les travailleurs saisonniers agricoles rencontrés par Tchak! : Simion, un Roumain sous la coupe d’un intermédiaire mafieux ; Sidy, un demandeur d’asile aux prises avec un fruiticulteur hystérique ; Ula, à qui on a interdit de rentrer en Pologne si elle voulait être payée ; Natalia, testée positive au Covid et qui s’endette ici ; Célestin, sans-papiers qui n’a pas le droit de s’arrêter pour boire, etc.
Combien sont-ils à être confrontés à ces conditions de travail lamentables ? Avec l’aide de spécialistes, Tchak! s’est penché sur les chiffres – assez rares – et a pu retracer la courbe : le nombre de travailleurs saisonniers a doublé en 20 ans, passant d’environ 33.000 paires de bras saisonnières, dont une majorité de Belges, à près de 67.000, dont 75% de résidents étrangers, le tout sur fond l’agro-industrie exportatrice. Inquiets, les syndicats craignent un glissement du travail régulier vers le travail saisonnier.
Difficile de sortir d’un engrenage enclenché avec la bénédiction des États, bien décidés de « mener la concurrence commerciale sur le dos de la main-d’œuvre », analyse la sociologue française Swanie Potot. Qui prévient : tant que le travail sera façonné pour n’attirer que des migrants vulnérables, il ne faudra pas s’étonner que les règles soient bafouées. Même en Belgique.
Au sommaire, aussi, de ce sixième numéro de Tchak! :
-Deutsche Bank Belgique : la vidéo localwashing du CEO, c’est juste une illusion.
-Bocaleries et conserveries : une mise en boîte complexe mais prometteuse.
-Fruits à coque : des filières qui valent plus que des cacahuètes.
-Accès à une alimentation de qualité: pourquoi pas une solidarité via la sécurité sociale?
-Opération Belhaize : un nationalisme économique qui renvoie à l’extrême-droite.
-Jean Ziegler : « L’augmentation de la faim dans le monde prouve l’échec du néolibéralisme ».
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REVUE TCHAK N°6
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REVUE TCHAK N°6
En voici les éléments clés :
Insultes, arnaques, quasi-séquestration… Cela se passe dans certaines serres flamandes, dans certains champs wallons. En témoignent les travailleurs saisonniers agricoles rencontrés par Tchak! : Simion, un Roumain sous la coupe d’un intermédiaire mafieux ; Sidy, un demandeur d’asile aux prises avec un fruiticulteur hystérique ; Ula, à qui on a interdit de rentrer en Pologne si elle voulait être payée ; Natalia, testée positive au Covid et qui s’endette ici ; Célestin, sans-papiers qui n’a pas le droit de s’arrêter pour boire, etc.
Combien sont-ils à être confrontés à ces conditions de travail lamentables ? Avec l’aide de spécialistes, Tchak! s’est penché sur les chiffres – assez rares – et a pu retracer la courbe : le nombre de travailleurs saisonniers a doublé en 20 ans, passant d’environ 33.000 paires de bras saisonnières, dont une majorité de Belges, à près de 67.000, dont 75% de résidents étrangers, le tout sur fond l’agro-industrie exportatrice. Inquiets, les syndicats craignent un glissement du travail régulier vers le travail saisonnier.
Difficile de sortir d’un engrenage enclenché avec la bénédiction des États, bien décidés de « mener la concurrence commerciale sur le dos de la main-d’œuvre », analyse la sociologue française Swanie Potot. Qui prévient : tant que le travail sera façonné pour n’attirer que des migrants vulnérables, il ne faudra pas s’étonner que les règles soient bafouées. Même en Belgique.
Au sommaire, aussi, de ce sixième numéro de Tchak! :
-Deutsche Bank Belgique : la vidéo localwashing du CEO, c’est juste une illusion.
-Bocaleries et conserveries : une mise en boîte complexe mais prometteuse.
-Fruits à coque : des filières qui valent plus que des cacahuètes.
-Accès à une alimentation de qualité: pourquoi pas une solidarité via la sécurité sociale?
-Opération Belhaize : un nationalisme économique qui renvoie à l’extrême-droite.
-Jean Ziegler : « L’augmentation de la faim dans le monde prouve l’échec du néolibéralisme ».
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REVUE TCHAK N°7
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REVUE TCHAK N°7
À la Une, notre enquête Den Berk Délice : les tomates noir-jaune-rouge de la honte.
En voici les éléments clés :
• Avec plus de 70 hectares hors sol, Den Berk Délice est un des plus gros producteurs belges de tomates. Pour assurer la logistique, elle peut compter sur les services de Hoogstraten,
imposante coopérative flamande qui fournit la grande distribution en Belgique et à l’étranger. Colruyt, Carrefour et Delhaize font partie de ses gros revendeurs. La chaîne au lion
a même mis la marque à l’honneur dans le cadre de sa campagne « Belhaize ».
• Derrière ce succès commercial – Den Berk Délice est en forte croissance – se cache une autre réalité : pour assurer la production, l’entreprise soumet des centaines d’ouvriers saisonniers à des conditions de travail inouïes. Cadences infernales, horaires qui dépassent les limites légales, pauses insuffisantes, accidents non déclarés, commissions occultes… Les témoignages des travailleurs sont accablants.
• Contacté, Den Berk Délice affirme que le bien-être de ses travailleurs est un élément central de sa politique de gestion des ressources humaines, tout en reconnaissant que le rythme de travail est élevé « par moment ». Elle explique aussi suivre les prescriptions légales en matière d’analyse de risques au travail. Mais elle ne réagit pas aux affirmations des travailleurs.
Au sommaire, aussi, de ce septième numéro de Tchak! :
• Promotion d’une agriculture de qualité (Apaq-W) : le ras-le bol des agriculteurs.
• Carrière Carmeuse à Florennes : agriculteurs et riverains paient l’addition.
• Vols alimentaires : et si c’était la société qu’il fallait juger ?
• Multinationale de la viande : le business avarié du brésilien JBS.
• Boîte à tartines : le symbole de la méritocratie parentale.
Et encore : 15 pages sur l’actualité des régions en matière de nouveaux producteurs et d’artisanstransformateurs, de création de coopératives et de magasins à la ferme, de luttes paysannes, etc.
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REVUE TCHAK N°7
À la Une, notre enquête Den Berk Délice : les tomates noir-jaune-rouge de la honte.
En voici les éléments clés :
• Avec plus de 70 hectares hors sol, Den Berk Délice est un des plus gros producteurs belges de tomates. Pour assurer la logistique, elle peut compter sur les services de Hoogstraten,
imposante coopérative flamande qui fournit la grande distribution en Belgique et à l’étranger. Colruyt, Carrefour et Delhaize font partie de ses gros revendeurs. La chaîne au lion
a même mis la marque à l’honneur dans le cadre de sa campagne « Belhaize ».
• Derrière ce succès commercial – Den Berk Délice est en forte croissance – se cache une autre réalité : pour assurer la production, l’entreprise soumet des centaines d’ouvriers saisonniers à des conditions de travail inouïes. Cadences infernales, horaires qui dépassent les limites légales, pauses insuffisantes, accidents non déclarés, commissions occultes… Les témoignages des travailleurs sont accablants.
• Contacté, Den Berk Délice affirme que le bien-être de ses travailleurs est un élément central de sa politique de gestion des ressources humaines, tout en reconnaissant que le rythme de travail est élevé « par moment ». Elle explique aussi suivre les prescriptions légales en matière d’analyse de risques au travail. Mais elle ne réagit pas aux affirmations des travailleurs.
Au sommaire, aussi, de ce septième numéro de Tchak! :
• Promotion d’une agriculture de qualité (Apaq-W) : le ras-le bol des agriculteurs.
• Carrière Carmeuse à Florennes : agriculteurs et riverains paient l’addition.
• Vols alimentaires : et si c’était la société qu’il fallait juger ?
• Multinationale de la viande : le business avarié du brésilien JBS.
• Boîte à tartines : le symbole de la méritocratie parentale.
Et encore : 15 pages sur l’actualité des régions en matière de nouveaux producteurs et d’artisanstransformateurs, de création de coopératives et de magasins à la ferme, de luttes paysannes, etc.
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REVUE TCHAK N°8
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REVUE TCHAK N°8
A la Une, notre enquête « Circuit court : et si les restos s'y mettaient ? ». En voici les éléments clés :
• Tchak! a passé au crible l'assortiment des grossistes en viande qui fournissent les restaurants, des multinationales comme Metro ou Sligro et une myriade de PME. On a analysé leurs dépliants, visité leurs entrepôts, interrogé leurs délégués commerciaux. Les produits locaux de qualité différenciée sont marginaux. Le bio, quasi inexistant.
• Le constat est particulièrement accablant pour la viande bovine, dont pas loin de 90% des importations vers la Belgique seraient destinées aux restaurants. En cause notamment, le désamour des chefs envers le Blanc Bleu Belge. Les éleveurs locaux en pâtissent, quelle que soit la race de leur cheptel. Des filières alternatives se mettent en place mais, pour grandir, elles doivent d'abord rappeler aux restos qu'une vache ne se compose pas que de steaks.
• Chaque jour, une poignée de restaurateurs s'évertuent à faire de leur établissement une vitrine des producteurs les plus durables, en privilégiant le circuit court. Il faut toutefois une fameuse dose de conviction pour s'organiser sans les services des grossistes habituels.
• Les consommateurs manquent de repères pour identifier les restaurants durables. Quelques acteurs en lien avec le secteur Horeca ont livré leurs pistes pour y voir plus clair.
Au sommaire, aussi, de ce huitième numéro de Tchak! :
• Portrait : Sandrine Goeyvaerts, la caviste insoumise.
• Filière : les cultures d’avocats assèchent l’Andalousie.
• Maraîchage : les mangeurs sont-ils trop volages ?
• Supermarchés : pourquoi il ne faut pas craindre d’anticiper leur fin.
• Groupements d’employeurs : des travailleurs agricoles, ça se partage.
• Tereos : le bilan salé de l’industrie sucrière
• Emballages en plastique recyclé : la fausse solution
• Sommet sur les systèmes alimentaires : les raisons de l’échec
Et encore : 15 pages sur l’actualité des régions en matière de nouveaux producteurs et d’artisans-transformateurs, de création de coopératives et de magasins à la ferme, de luttes paysannes, etc.
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A la Une, notre enquête « Circuit court : et si les restos s'y mettaient ? ». En voici les éléments clés :
• Tchak! a passé au crible l'assortiment des grossistes en viande qui fournissent les restaurants, des multinationales comme Metro ou Sligro et une myriade de PME. On a analysé leurs dépliants, visité leurs entrepôts, interrogé leurs délégués commerciaux. Les produits locaux de qualité différenciée sont marginaux. Le bio, quasi inexistant.
• Le constat est particulièrement accablant pour la viande bovine, dont pas loin de 90% des importations vers la Belgique seraient destinées aux restaurants. En cause notamment, le désamour des chefs envers le Blanc Bleu Belge. Les éleveurs locaux en pâtissent, quelle que soit la race de leur cheptel. Des filières alternatives se mettent en place mais, pour grandir, elles doivent d'abord rappeler aux restos qu'une vache ne se compose pas que de steaks.
• Chaque jour, une poignée de restaurateurs s'évertuent à faire de leur établissement une vitrine des producteurs les plus durables, en privilégiant le circuit court. Il faut toutefois une fameuse dose de conviction pour s'organiser sans les services des grossistes habituels.
• Les consommateurs manquent de repères pour identifier les restaurants durables. Quelques acteurs en lien avec le secteur Horeca ont livré leurs pistes pour y voir plus clair.
Au sommaire, aussi, de ce huitième numéro de Tchak! :
• Portrait : Sandrine Goeyvaerts, la caviste insoumise.
• Filière : les cultures d’avocats assèchent l’Andalousie.
• Maraîchage : les mangeurs sont-ils trop volages ?
• Supermarchés : pourquoi il ne faut pas craindre d’anticiper leur fin.
• Groupements d’employeurs : des travailleurs agricoles, ça se partage.
• Tereos : le bilan salé de l’industrie sucrière
• Emballages en plastique recyclé : la fausse solution
• Sommet sur les systèmes alimentaires : les raisons de l’échec
Et encore : 15 pages sur l’actualité des régions en matière de nouveaux producteurs et d’artisans-transformateurs, de création de coopératives et de magasins à la ferme, de luttes paysannes, etc.
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A la Une, notre enquête sur les habitudes patriarcales en milieu agricole.
En voici les éléments clés :
• En Wallonie, les agricultrices représentent 18% des chefs d’exploitation et 75% des conjointsaidants. Dans de nombreuses familles, elles s’occupent de la traite, des soins donnés aux
animaux, des activités de transformation, de la vente directe, de l’entretien du foyer, de
l’éducation des enfants, des courses, des repas, des lessives, de la comptabilité et du volet
administratif de la ferme. Elles sont donc omniprésentes, multitâches et hyperactives.
• Publiquement, leur rôle continue d'être considéré comme périphérique. Conséquence : elles
sont moins présentes aux postes à responsabilité dans les structures agricoles. En Wallonie,
la présidente du syndicat agricole majoritaire est pourtant une femme, et il existe une aile
féminine depuis longtemps. Mais est-ce suffisant pour rétablir l’égalité ? Pas vraiment.
• Le déséquilibre entre les genres s’observe jusqu’à l’échelon européen. La dernière réforme
de la Politique agricole commune (PAC) a ainsi été décidée par des institutions
majoritairement composées d’hommes.
Au sommaire, aussi, de ce neuvième numéro de Tchak! :
• Pralines Léonidas : ne tombez plus dans le cadeau.
• Eco-score : un outil qui présente de nombreuses failles.
• Jupiler : les étudiants savent pourquoi… pas.
• Malbouffe : mais que fait le politique ?
• Portrait : la Turbean, une cantine colorée, croquante et militante.
• Ecoles : des potages locaux et gratuits, c’est possible.
• Boum des limaces : l’étonnante découverte d’un groupe d’agriculteurs.
• Maraîchage : se former sur le terrain, c’est essentiel.
• Mer de plastique : la Belgique dans le top 10 des importations.
• Multinationale : Cargill, la reine des géantes.
Et encore : 15 pages sur l’actualité des régions en matière de nouveaux producteurs et d’artisanstransformateurs, de création de coopératives et de magasins à la ferme, de luttes paysannes, etc.
Tchak! explore les facettes d'une transition alimentaire solidaire, durable sur le plan écologique,
innovante sur les plans politique, socio-économique, culturel, ou encore soucieuse de la santé
publique. Elle questionne les pratiques de l’industrie agro-alimentaire et de la grande distribution.
Elle adhère au code de déontologie de l’Association des journalistes professionnels (AJP).
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A la Une, notre enquête sur les habitudes patriarcales en milieu agricole.
En voici les éléments clés :
• En Wallonie, les agricultrices représentent 18% des chefs d’exploitation et 75% des conjointsaidants. Dans de nombreuses familles, elles s’occupent de la traite, des soins donnés aux
animaux, des activités de transformation, de la vente directe, de l’entretien du foyer, de
l’éducation des enfants, des courses, des repas, des lessives, de la comptabilité et du volet
administratif de la ferme. Elles sont donc omniprésentes, multitâches et hyperactives.
• Publiquement, leur rôle continue d'être considéré comme périphérique. Conséquence : elles
sont moins présentes aux postes à responsabilité dans les structures agricoles. En Wallonie,
la présidente du syndicat agricole majoritaire est pourtant une femme, et il existe une aile
féminine depuis longtemps. Mais est-ce suffisant pour rétablir l’égalité ? Pas vraiment.
• Le déséquilibre entre les genres s’observe jusqu’à l’échelon européen. La dernière réforme
de la Politique agricole commune (PAC) a ainsi été décidée par des institutions
majoritairement composées d’hommes.
Au sommaire, aussi, de ce neuvième numéro de Tchak! :
• Pralines Léonidas : ne tombez plus dans le cadeau.
• Eco-score : un outil qui présente de nombreuses failles.
• Jupiler : les étudiants savent pourquoi… pas.
• Malbouffe : mais que fait le politique ?
• Portrait : la Turbean, une cantine colorée, croquante et militante.
• Ecoles : des potages locaux et gratuits, c’est possible.
• Boum des limaces : l’étonnante découverte d’un groupe d’agriculteurs.
• Maraîchage : se former sur le terrain, c’est essentiel.
• Mer de plastique : la Belgique dans le top 10 des importations.
• Multinationale : Cargill, la reine des géantes.
Et encore : 15 pages sur l’actualité des régions en matière de nouveaux producteurs et d’artisanstransformateurs, de création de coopératives et de magasins à la ferme, de luttes paysannes, etc.
Tchak! explore les facettes d'une transition alimentaire solidaire, durable sur le plan écologique,
innovante sur les plans politique, socio-économique, culturel, ou encore soucieuse de la santé
publique. Elle questionne les pratiques de l’industrie agro-alimentaire et de la grande distribution.
Elle adhère au code de déontologie de l’Association des journalistes professionnels (AJP).
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